Séries éliminatoires de la LNH: voici la chanson qu’écoutent les Oilers quand ils gagnent (mais personne ne veut expliquer d’où vient ce choix)
Le Journal de Montréal
Les Blues de St. Louis faisaient jouer en boucle Gloria, le succès de 1982 de Laura Branigan, durant leur marche jusqu’à la conquête de la coupe Stanley, il y a six ans. Et maintenant, c’est au tour des Oilers d’Edmonton d’avoir leur hymne de la victoire.
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Après chaque triomphe de la dernière équipe canadienne en lice dans ces séries, Pink Pony Club, de Chappell Roan, résonne dans le vestiaire des Oilers, explique le Edmonton Sun, mercredi.
Mais d’où vient cette tradition? Aucun joueur de l’équipe n’a voulu l’expliquer.
«Je ne sais pas si je peux raconter cette histoire aux gens, a dit le gardien Calvin Pickard. Je sais exactement où tout a commencé, mais je ne sais pas si je veux révéler ce secret. Je pense que je vais le garder pour moi.»
Pink Pony Club est une chanson pop sortie en 2020, qui raconte l’histoire d’une jeune femme qui quitte son Tennessee natal pour s’installer dans le sud de la Californie. Même si ça va à l’encontre des volontés de sa mère, elle commence alors à danser dans un club gai. C’est aussi un hymne à l’inclusion.
Il n’y a pas que dans le vestiaire des Oilers que la chanson est jouée, d’ailleurs: on a aussi pu l’entendre dans le Rogers Place lors de certains matchs des séries, cette année.
À l’instar de son coéquipier Evan Bouchard, Pickard n’a donc pas voulu trop en dire sur cette nouvelle tradition qui supplante La Bamba, le temps d’un printemps, mais il aime le choix de la chanson.
