
L'autre belle histoire canadienne de cet US Open: Gabriela Dabrowski en finale, après avoir combattu le cancer
Le Journal de Montréal
FLUSHING, New York | Gabriela Dabrowski n’avait jamais eu le sourire facile sur un court de tennis. C’est elle qui le disait. Mais c’était avant.
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Avant qu’elle ne reçoive, l’an dernier, un diagnostic de cancer du sein.
Ces mots qui «font chavirer une vie», écrivait-elle en décembre, ne l’ont pas empêchée de connaître du succès sur les terrains.
Une médaille de bronze en double mixte aux Jeux olympiques de Paris avec Félix Auger-Aliassime, un titre aux Finales de la WTA avec sa partenaire de jeu des deux dernières années, la Néo-Zélandaise Erin Routliffe.
Et Gabriela Dabrowski, d’Ottawa, avait une raison de plus de sourire sur le terrain, mercredi.
C’est elle, l’autre belle histoire canadienne de ce US Open: deux ans après avoir raflé le titre en double féminin avec Routliffe – qui a déjà représenté l’unifolié, d’ailleurs – la paire est de retour en finale de l’US Open.
Une belle histoire parce qu’il y a eu ce cancer, dont elle est remise, même s’il reste la batterie d’examens médicaux auxquels elle devra maintenant se soumettre ponctuellement.
