
Le Grand Prix du Canada de F1 en examen: aucun cafouillage n’est permis en juin
Le Journal de Montréal
Dans un mois, aucun des acteurs de l’organisation du Grand Prix du Canada ne possédera de marge de manœuvre. À quatre ans de la fin du contrat original liant le promoteur et les bailleurs de fonds à la Formule 1, le succès de cette édition 2025 est primordial pour l’avenir de l’événement au circuit Gilles-Villeneuve.
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«Ça passe ou ça casse?» a posé en question Le Journal à des sources près du dossier dans les derniers mois, alors que les enjeux sont énormes pour toutes les parties.
Elles n’ont pas tout à fait collé à ce dicton. Mais la pression est toutefois grande.
Tout est sous la loupe et la majorité des indicateurs sont au vert dans les préparatifs de la semaine du Grand Prix à Montréal, nous a-t-on dit.
Rappelons que, l’an dernier, après avoir transmis ses excuses aux écuries et aux partenaires en raison d’une terrible édition truffée de problèmes, le grand patron de la F1, Stefano Domenicali, avait exigé des changements.
Cette année, les acteurs impliqués, de près ou de loin, sont en constante discussion et rendent des comptes périodiquement au gouvernement du Québec. Après la course l’an dernier, on se souvient que la ministre du Tourisme, Caroline Proulx, avait exprimé sa gêne devant tout le cafouillage organisationnel.
