Estrie : un organisme de soutien aux personnes trans ferme faute de financement
TVA Nouvelles
L’organisme TransEstrie, ne pourra pas continuer son activité après le 31 mars faute de financement et appel donc aux dons pour survivre.
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Les services de l’organisme communautaire TransEstrie, qui fait valoir les droits des personnes trans et non-binaires en Estrie, seront suspendus indéfiniment par manque de financement.
Sur les réseaux sociaux, l’organisme a annoncé sa fermeture et fait un appel aux dons afin de maintenir ses activités.
De nombreux internautes ont été touchés par la nouvelle.
«TransEstrie est l'un des seuls organismes à s'impliquer activement dans le bien-être des personnes trans en Estrie, et LE seul à Sherbrooke», a publié sur Instagram Gabriel du compte pluiedarcenciel. Comme n'importe quel autre organisme communautaire en ce moment, ils n'ont plus accès à aucun financement et devront arrêter leurs services à partir du mois d'avril.»
«Je suis sans mots, votre mission et vos services sont ESSENTIELS», a déploré sur Facebook Rafaël Provost, Directeur général de l’Organisme LGBT+ Jeunes et Adultes (JAG).
TransEstrie offre des suivis individuels et collectifs, ainsi que des bourses pour faciliter l'accès financier au changement de nom/sexe légal. L'organisme fourni également gratuitement des vêtements et prothèses d'affirmation de genre a précisé Gabriel.
Le lien poursoutenir TransEstrie est disponible ici : https://transestrie.org/don/
L'homme d'affaires Peter Sergakis déplore la détérioration de la situation de l’itinérance à Montréal et interpelle le premier ministre, la mairesse de Montréal, le chef du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) et le responsable de l'urbanisme de la Ville dans une lettre à laquelle l’Agence QMI a eu accès.
J’ai 22 ans et, comme tous les jeunes de ma génération, j’ai grandi avec les médias sociaux. Pendant notre enfance, nos sociétés se sont lancées dans une grande expérience dont nous avons été les cobayes, alors que l’on ignorait les conséquences de ces plateformes sur notre développement et notre santé mentale. Maintenant que s’amorce un réveil collectif sur cette question, notre génération doit avoir son mot à dire.