
Une victoire qui donne de l'air à Samuel Montembeault
TVA Nouvelles
Les gardiens de but ont souvent la réputation d’être de drôle de bibittes. Samuel Montembeault est tout ce qu’il y a de plus normal.
Mais Monty ne cache pas que les difficultés qu’il connaît depuis le début de la saison ne l’ont pas laissé indifférent même s’il a tenté de s’en isoler. C’est pourquoi sa victoire contre les Golden Knights, vendredi, lui a fait le plus grand bien. Et on le comprend, cette performance de 30 arrêts dans laquelle il n’a accordé qu’un seul but lui a donné de l’air.
«C’est sûr que ça fait du bien et que ça enlève un peu de pression sur les épaules, ça relâche tout, ça fait du bien au moral et c’était contre une bonne équipe», a-t-il avoué installé devant son casier alors qu’il venait de sortir de la patinoire lundi midi et qu’il n’avait pas encore retiré ses grosses jambières.
«Je pense que c’était mon meilleur match de l’année, surtout la partie la plus complète. C’était solide d’un bout à l’autre et il faut bâtir là-dessus en travaillant pour retrouver la constance que j’avais avant.»
Montembeault sera de retour devant le filet mardi soir lors de la visite des Sénateurs au Centre Bell. Il aura l’occasion de faire ce qu’il n’a pas réussi depuis le deuxième et le troisième match de la saison, doit remporter deux victoires consécutives.

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.

Alexander Karmanov fait 7 pieds 3 pouces sur patins et ce n’est même pas une échalotte. À 17 ans, il pèse 280 lb. Mettons quand même une chose au clair, le plus grand hockeyeur au monde aspire à bien plus que devenir votre bête de cirque. Il est capable de jouer et il a une chance réelle de passer à l’histoire dans la LNH.











