
Leylah devrait songer à limoger son père Leylah devrait songer à limoger son père
TVA Nouvelles
Il y a trois ans, à 19 ans, Leylah Fernandez atteignait les quarts de finale à Roland-Garros quelques mois après une finale au US Open. Elle atteignait alors le 13e rang mondial. Depuis, elle n’est jamais passée proche de refaire ça.
Dimanche, à Paris, elle s’est fait piétiner au premier tour par la 34e raquette mondiale, Olga Danilovic. Leylah glissera donc au moins au 28e rang du classement mondial.
Sa carrière est loin d’être décevante. Son jeu est toujours spectaculaire.
Mais dans les faits, la carrière de Leylah stagne. Ça ne va pas comme prévu pour la Québécoise. Si son début de carrière n’avait pas été aussi étincelant, personne ne s’en étonnerait. Mais ce n’était pas de la chance. Il faut donc se demander pourquoi elle n’arrive pas à aller plus loin dans les gros tournois.
Ce n’est pas seulement pour les résultats qu’on constate une stagnation. C’est le cas aussi pour les statistiques. Son succès sur ses premiers services n’a pratiquement pas progressé depuis quatre ans. Il a grimpé de 0,2%.

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.

Alexander Karmanov fait 7 pieds 3 pouces sur patins et ce n’est même pas une échalotte. À 17 ans, il pèse 280 lb. Mettons quand même une chose au clair, le plus grand hockeyeur au monde aspire à bien plus que devenir votre bête de cirque. Il est capable de jouer et il a une chance réelle de passer à l’histoire dans la LNH.











