
C’est peut-être lui, la deuxième licorne du Canadien
TVA Nouvelles
«C’est une licorne.» Au bout du fil, le directeur général des Colts de Barrie, Marty Williamson, dépeint avec verve sa perle rare, le défenseur Kashawn Aitcheson, une cible incontournable pour le Canadien de Montréal au 16e ou 17e rang du prochain repêchage de la Ligue nationale de hockey.
Cette expression est bien connue des partisans du CH depuis qu’elle a été employée par Nick Bobrov pour insister sur le profil unique de Florian Xhekaj. Créature légendaire et mythique, la licorne incarne la rareté.
Après avoir repêché Florian en 2023, Bobrov et Martin Lapointe pourraient ajouter en Aitcheson un autre espoir atypique au bassin de l’organisation. Aitcheson a ceci de fascinant qu’il appartient autant à la vieille école qu’à la nouvelle.
«Les Canadiens cachent bien leurs cartes, évidemment. Ils posent leurs questions. On les a vus pas mal dans notre amphithéâtre. Je crois qu’ils voient ce que je vois», indique le DG des Colts, qui évoque un intérêt très prononcé de «sept ou huit équipes» à l’endroit de son poulain, dont quelques-unes qui seraient prêtes s’avancer pour le sélectionner.
Pour les intimes, Kashawn Aitcheson, c’est «Kash». Comme quoi le Canadien frapperait le gros lot en mettant le grappin sur lui au milieu du premier tour.

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.












