
Avec la signature de Mike Matheson, la pression est maintenant sur les épaules de Kent Hughes Avec la signature de Mike Matheson, la pression est maintenant sur les épaules de Kent Hughes
TVA Nouvelles
La trame narrative a changé chez le Canadien. Fini l’époque où il fallait surpayer des joueurs pour qu’ils veuillent jouer à Montréal. Au contraire, maintenant, ce sont les joueurs qui acceptent un salaire plus bas que ce qu’ils auraient pu avoir ailleurs, pour rester avec l’équipe.
On pense à Lane Hutson, on pense même à Jake Evans, qui aurait sans doute pu obtenir un peu plus d’un autre club. Et maintenant, on pense à Mike Matheson.
C’est une excellente nouvelle que le Canadien se soit entendu pour cinq autres années avec Matheson. Et c’est une excellente nouvelle que le Canadien ait réussi à le convaincre de signer pour aussi peu cher. Ça veut dire que Montréal est devenu une destination.
En l’absence de Kaiden Guhle, qui est souvent absent en passant, la brigade défensive a besoin de gars fiables comme lui, capables de jouer de grosses minutes.
Le Canadien ne pouvait pas se permettre de perdre un maillon fort comme Matheson. Même quand il commet des erreurs comme celle contre l’Avalanche du Colorado, en fin de semaine (mais après tout, quel joueur n’a pas commis d’erreur contre l’Avalanche !).

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.

Alexander Karmanov fait 7 pieds 3 pouces sur patins et ce n’est même pas une échalotte. À 17 ans, il pèse 280 lb. Mettons quand même une chose au clair, le plus grand hockeyeur au monde aspire à bien plus que devenir votre bête de cirque. Il est capable de jouer et il a une chance réelle de passer à l’histoire dans la LNH.











