
Alexandre Carrier peut choisir tranquillement ses bananes à l’épicerie Alexandre Carrier peut choisir tranquillement ses bananes à l’épicerie
TVA Nouvelles
À part à Montréal, c’est rare qu’un défenseur reçoive une ovation pour avoir bloqué un tir. À Nashville, probablement que la majorité des fans ne s’en rendraient même pas compte. Quand une de tes forces, c’est de faire ce genre de jeux qui passent souvent dans l’ombre, c’est donc pas mal plus valorisant de jouer à Montréal.
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C’est Alexandre Carrier qui m’a expliqué ça quand je lui ai demandé ce que ça changeait de jouer pour le Canadien. À Montréal, «tout le monde le remarque quand je bloque un tir, c’est l’fun», me dit-il.
Sinon, il évoque aussi une nouvelle réalité qu’il ne croyait plus possible.
«Hier, je suis allé souper chez mes parents. Un dimanche 9 novembre. Imagine, ça faisait 10 ans que ça ne m’était pas arrivé!»

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.

Alexander Karmanov fait 7 pieds 3 pouces sur patins et ce n’est même pas une échalotte. À 17 ans, il pèse 280 lb. Mettons quand même une chose au clair, le plus grand hockeyeur au monde aspire à bien plus que devenir votre bête de cirque. Il est capable de jouer et il a une chance réelle de passer à l’histoire dans la LNH.











