Hockey: la Russie proteste contre les sanctions
Le Journal de Montréal
La fédération russe de hockey n’est visiblement pas heureuse des sanctions dont elle fait l’objet, car elle a transmis jeudi une lettre à la Fédération internationale de hockey sur glace (IIHF) afin de lui exprimer son désarroi à ce sujet.
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Dans son message, l’organisation russe déplore ce qu’elle estime être des sanctions «discriminatoires». Le 28 février, quatre jours après le début des bombardements en Ukraine, l’IIHF a banni jusqu’à nouvel ordre le pays du président Vladimir Poutine ainsi que le Bélarus de toutes ses compétitions. De plus, le Championnat mondial de hockey junior 2023 qui devait avoir lieu à Novossibirsk et Omsk sera déménagé.
«Bannir des joueurs d’événements internationaux selon leur nationalité nourrit l’intolérance dans les médias et peut mener à des divisions au sein de la communauté du hockey sur glace, qui a toujours été reconnue pour son unité», a voulu justifier l’organisation nationale par voie de communiqué.
Plusieurs autres entités sportives ont déjà puni la Russie, notamment la FIFA et la Formule 1. La finale de la Ligue des champions (soccer) - relocalisée en France - et le Grand Prix de Sotchi (course automobile) - annulé - ont ainsi écopé.
Félix Auger-Aliassime a eu toutes les raisons de croire que sa folle et étrange épopée à Madrid, marquée par le forfait de trois de ses rivaux, se conclurait par le plus prestigieux titre de sa carrière. Mais le Québécois a finalement perdu sa première finale dans un Masters 1000 au terme d’une longue bagarre, dimanche.
Pendant cinq ans, entre 2011 et 2016, les titres de la catégorie Masters 1000 comme celui que tentera de ravir Félix Auger-Aliassime à Madrid, dimanche à compter de 12h30, ont été presque exclusivement remporté par les membres d’un quatuor de légende: Novak Djokovic, Roger Federer, Rafael Nadal et Andy Murray.