
Véhicules électriques : plus de modèles admissibles au rabais fédéral
Le Journal de Montréal
À compter du 25 avril 2022, le programme d’incitatifs pour l’achat de véhicules zéro émission (iVZE) du gouvernement du Canada sera élargi pour inclure l’achat d’un nombre supplémentaire de modèles, notamment des VUS et camionnettes. Ces incitatifs peuvent aller jusqu'à 5 000 $.
L’annonce a été faite vendredi midi, dans le cadre du Jour de la Terre, par le ministre canadien des Transports, Omar Alghabra.
Tout d’abord, Ottawa augmente de 45 000 $ à 55 000 $ le prix de détail suggéré par le fabricant (PDSF) qui sert de limite pour les modèles de base. Leurs versions plus coûteuses sont également admissibles. Dans leur cas, le PDSF maximal passe de 55 000 $ à 65 000 $.
Ensuite, les plus gros véhicules comme les VUS, camionnettes et fourgonnettes – on peut penser au Ford F-150 Lightning – se qualifieront pour le rabais à condition que leur PDSF soit de moins de 60 000 $. Les critères exacts (poids, taille, nombre de sièges, etc.) restent à préciser. Ça pourra aller jusqu’à 70 000 $ pour les versions plus coûteuses.
On apprend du même coup que le gouvernement fédéral a modifié la définition des véhicules hybrides rechargeables admissibles. Désormais, au lieu de se baser sur la capacité de la batterie, la subvention dépendra de l’autonomie offerte. Ainsi, les hybrides rechargeables capables de parcourir 50 km ou plus en mode électrique recevront 5 000 $ et ceux qui sont sous ce seuil continueront d’être admissibles à 2 500 $.
Rappelons que le budget fédéral de 2022 propose d’investir 1,7 milliard $ en vue de prolonger le programme iVZE jusqu’en mars 2025, de fournir 547,5 millions $ sur quatre ans pour lancer un nouveau programme d’incitatifs à l’achat de véhicules zéro émission moyens et lourds (les modalités seront annoncées cet été) et d’investir 400 millions $ d’argent neuf pour l’installation de bornes de recharge à travers le pays.
De plus, tel qu’annoncé à la fin mars, le gouvernement du Canada mettra de la pression sur les constructeurs automobiles pour que les véhicules zéro émission représentent au moins 20 % des ventes de nouveaux véhicules légers d’ici 2026, 60 % d’ici 2030 et 100 % d’ici 2035.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









