
Une famille sur deux qui va dans un parc Disney revient endettée
Le Journal de Montréal
Malgré l’inflation et la hausse marquée du coût de la vie au cours des dernières années, plusieurs familles américaines n’hésitent pas à s’endetter pour aller visiter un parc d’attractions Disney.
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Que ce soit pour aller à Disney World, en Floride, ou à Disneyland, en Californie, 45% des familles ayant des enfants de moins de 18 ans ont dû emprunter de l’argent pour pouvoir se payer leurs vacances rêvées avec Mickey et sa bande, révèle une étude menée par la plateforme de prêt LendingTree auprès de plus de 2000 citoyens américains.
Il s’agit d’une nette hausse de cette statistique, puisqu’en 2022, 30% des familles avec enfants avaient mentionné qu’ils s’endettaient pour aller dans un parc Disney.
Les parents d’enfants de moins de 18 ans, qui représentent environ 77% des visiteurs des deux parcs d’attractions, ne semblent toutefois pas particulièrement préoccupés par le fait de s’endetter pour des vacances. Environ 59% de ces parents affirment ne pas regretter leur choix d’emprunter de l’argent pour payer leur séjour à Disney.
Chez l’ensemble des visiteurs des célèbres parcs d’attractions, avec ou sans enfants, ce sont 24% des gens qui affirment avoir contracté une dette pour aller à Disney World ou à Disneyland, une augmentation de 6% en deux ans. De ce lot, 64% affirment être parfaitement à l’aise avec l’idée de s’endetter pour leurs vacances dans un parc Disney. Trois femmes sur quatre n’affichent aucun remords face à leur dette Disney, contre 58% chez les hommes.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









