
Un vaccin anticancer prometteur
Le Journal de Montréal
Une recherche récente montre qu’un nouveau type de vaccin contre le cancer, conçu de façon à contourner l’immunorésistance intrinsèque des tumeurs, permet de bloquer la croissance de cancers métastatiques très invasifs.
L’objectif d’un vaccin contre le cancer est de stimuler le système immunitaire du patient pour qu’il s’attaque aux cellules cancéreuses de façon à empêcher leur croissance, à faire régresser les tumeurs établies ou encore éradiquer les cellules cancéreuses qui demeurent présentes après les traitements(1).
Les trois clés pour qu’un tel vaccin voie le jour sont :
Évasion immunitaire
La principale difficulté rencontrée dans le développement des vaccins anticancer est l’incroyable résistance des cellules cancéreuses à l’action du système immunitaire. Pour pouvoir progresser, une tumeur doit nécessairement parvenir à échapper à la réponse immunitaire et c’est pour cette raison que la plupart des cancers présentent des mutations qui les rendent invisibles ou résistants à l’immunité.
Par exemple, les cellules cancéreuses expriment souvent à leur surface des protéines altérées, différentes des cellules normales, qui peuvent être reconnues par le système immunitaire et déclencher une réponse qui va entraîner l’élimination de ces cellules anormales. Pour éviter cette attaque, les cellules cancéreuses se protègent en activant des enzymes qui vont éliminer la protéine de la surface ; ce stratagème permet alors au cancer de demeurer invisible et de progresser sans interférence de l’immunité.
Nouvelle approche
Les résultats d’une étude récemment parue dans le prestigieux Nature suggèrent qu’il serait possible de vaincre cette immunorésistance des tumeurs à l’aide d’un vaccin qui empêche la cellule cancéreuse d’éliminer certains antigènes de surface (2).
Dans cette étude, les chercheurs se sont intéressés à des protéines de stress cellulaire appelées MICA/B qui sont exprimées à la surface de plusieurs types de cancers en réponse à des dommages à l’ADN. Bien que ces protéines aient le potentiel d’activer l’immunité, les cellules cancéreuses empêchent cette activation en dégradant MICA/B.

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