
Un hôtel plutôt étrange
Le Journal de Montréal
Lors d’un voyage, l’hébergement compte aussi dans l’expérience et peut mener vers des découvertes inusitées. De 2010 à 2015, j’ai réalisé un essai photo sur les villes nord-américaines pour National Geographic, en explorant différents aspects de l’urbanité. Dénicher de petits trésors visuels aux quatre coins des villes de l’Amérique du Nord fut mon objectif principal. Le plus souvent, les « skylines » demeuraient à l’honneur. Ces panoramas étaient souvent mis en valeur à la tombée de la nuit ou au petit matin. S’ajoutait évidemment la quête photographique des meilleurs points de vue de quartiers historiques ou touristiques.
Pourtant, après quelques centaines de destinations, de vols d’avions, et d’hôtels, la représentativité de mon projet présentait une faiblesse. Il me manquait des intérieurs urbains. Dès lors, je me suis consacré à la chasse de ces perspectives architecturales. Parmi mes trouvailles les plus étranges, le Marriott Marquis d’Atlanta figure en tête de lice. Bien que cet édifice semble anodin à première vue, lorsqu’on y entre et qu’on lève les yeux, on reste bouche bée. Une vision sortie de la science-fiction s’offre à nous. D’ailleurs, plusieurs films y furent tournés. On a parfois l’impression d’être au centre d’une cage thoracique géante ! Au moment de sa construction en 1985, cet atrium intérieur se classait le plus grand du monde avec ses 143 m (470 pi) de hauteur. Depuis, il fut détrôné par le Burj Al Arab de Dubai.
Appareil : Canon EOS 5D MK III
Objectif : EF 24 mm
Exposition : 1/60s à F/2,8
ISO : 250

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









