
Tesla: une méga-usine en Ontario de plus en plus probable
Le Journal de Montréal
Ce n'est pas la première fois qu'Elon Musk parle du Canada dans le cadre de ses plans d'expansion pour « Gigafactories », ses méga-usines d’assemblage. La semaine dernière, le grand patron de Tesla a déclaré lors de l'assemblée annuelle des actionnaires de l'entreprise qu'une annonce concernant la prochaine méga-usine pourrait être faite plus tard cette année.
Interrogé sur l'emplacement, Musk a demandé à son audience où celle-ci devrait être construite. Et après qu'un groupe d'actionnaires ait été entendu crier « Canada », Musk a mentionné que « nous avons beaucoup de Canadas ici » et que « je suis à moitié canadien, peut-être que je devrais le faire ».
Plus tôt cette année, en juin, Musk a déclaré que Tesla envisageait des sites en Amérique du Nord, mais probablement pas aux États-Unis.
Et voilà que le mois dernier, Tesla Inc a enregistré ses activités de lobbying auprès du gouvernement ontarien dans le cadre d'un effort visant à mettre en place une « installation de fabrication avancée » au Canada, et à « identifier les possibilités de réformes des permis pour les installations industrielles. » Le dépôt a été effectué auprès du Bureau du commissaire à l'intégrité de l'Ontario.
Bien que tout semble vague et ouvert à interprétation (comme c’est souvent le cas chez Tesla), ces démarches constituent un autre pas vers une méga-usine ontarienne, qui s’ajouterait aux deux usines aux États-Unis, celle en Allemagne et celle en Chine.
Avec les problèmes d'approvisionnement qui ont mis des bâtons dans les roues de l’industrie au cours des dernières années, jumelés à un climat politique mondial tendu, les fabricants américains de véhicules électriques tentent tant bien que mal de diversifier leurs sources d’approvisionnement afin de réduire leur dépendance à certains pays et fabricants pour les batteries et autres composants.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









