
Tant que ce sera l’été: quitter une secte et refaire sa vie
Le Journal de Montréal
Intéressée par l’univers inquiétant des sectes, l’écrivaine Marianne Brisebois s’est penchée sur toute la question de l’émancipation, de la quête de liberté, et, ultimement, de la quête de soi pour écrire Tant que ce sera l’été, son troisième roman. Elle dépeint avec justesse et beaucoup d’émotion l’histoire d’Emma et de Gabriel, deux jeunes qui fuient leurs familles embrigadées dans une secte et prennent le large... direction est, vers la Gaspésie.
Un beau jour, deux jeunes adultes, Emma et Gabriel, en ont eu marre des restrictions et de l’isolement imposés par leur cadre familial et ont choisi de prendre le large. Gabriel a une bonne idée de ce qu’est le monde en dehors de la secte. Mais Emma, totalement coupée du monde depuis des années, n’en sait presque rien.
Au bord de la mer, à quelques kilomètres de Sainte-Anne-des-Monts, deux aubergistes sympathiques, Florence et William, les accueillent. Les jeunes fuyards entament leur premier été de liberté, au cours duquel ils feront l’apprentissage de beaucoup de choses merveilleuses et étourdissantes.
La genèse du roman est vraiment spéciale. « C’est une histoire qui a commencé dans ma tête quand j’avais 14 ans », confie l’autrice en entrevue.
« Près de chez ma tante, je savais qu’il y avait une famille qui faisait partie d’une secte. Je ne veux pas entrer trop dans les détails et je ne le fais pas non plus dans le livre. » Elle explique sa démarche. « Pour moi, ce n’est pas un livre qui est basé sur plein de recherches au niveau de la secte. Ce n’est pas un livre qui vient dénoncer ça, ou décortiquer ça et montrer comment ça fonctionne. Pour moi, c’est vraiment un prétexte pour parler d’émancipation, pour parler de liberté et pour amener des thématiques qui sont universelles. »
Marianne Brisebois rappelle que son roman raconte l’histoire de deux jeunes de 19 et 21 ans qui veulent recommencer leur vie.
« Ils ont été privés du monde en grandissant dans une secte. Quand on veut parler d’émancipation... on part de très loin. »
DÉCOUVERTE DE SOI
« Les lecteurs vont pouvoir se reconnaître à travers ça parce qu’il est question de recherche de soi, de l’identité, de ce qu’on laisse tomber par rapport à notre héritage familial, par rapport aux valeurs dans lesquelles on a grandi, et ce qu’on veut découvrir sur soi. »

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









