
Réseaux sociaux : un outil pour les proxénètes
Le Journal de Montréal
Le recrutement d’adolescentes et de jeunes femmes explose à l’heure actuelle sur les réseaux sociaux et c’est en grande partie grâce à un nouveau phénomène.
TikTok, Snapchat et Instagram permettent aux proxénètes de mettre de l’avant une vie de luxe pour attirer les jeunes femmes, comme a pu le constater l’équipe de J.E.
«Les médias sociaux, c’est un gros leurre. Ils ne vont pas dire ‘’je suis un proxénète’’, mais ils vont montrer de l’argent, flasher du bling bling et des voitures sports», explique la chercheuse Nathalie Gélinas de l’Institut universitaire des jeunes en difficulté, à Montréal.
Et cette image est si attrayante que de jeunes femmes proposent elles-mêmes leurs services à des proxénètes un peu partout en province.
Les journalistes Denis Therriault et Kathryne Lamontagne ont rencontré des intervenants qui sonnent l’alarme.
À VOIR à l’émission J.E vendredi soir 20h et dimanche 22h30 à TVA, en rediffusion samedi et dimanche 13h et 19h sur LCN
À LIRE vendredi et samedi dans le Journal de Montréal et le Journal de Québec
