
Porsche GT4 e-Performance : on s’est fait brasser par cette furie électrique de 1 073 chevaux!
Le Journal de Montréal
Porsche nous a conviés en Italie à la présentation de la gamme Taycan 2023 ainsi que de la nouvelle plate-forme PPE du futur Macan électrique. Le programme prévoyait aussi deux tours canon en tant que passager à bord d’une voiture de course : la GT4 e-Performance.
Une fois n’est pas coutume, c’est à la première personne que je vais vous rendre compte de cette expérience hors du commun.
Avec sa ligne droite de bonne longueur, deux freinages puissants et des virages lents ou rapides, la piste du Porsche Experience Center de Franciacorta près de Milan est un terrain de jeu idéal pour la GT4 e-Performance. J’aurais adoré la conduire, mais c’est en tant que passager que j’ai pu découvrir ce que cela fait de monter dans une voiture qui accélère presque aussi fort qu’une Formule 1. En effet, l’auto est capable de passer de 0 à 100 km/h en 2,3 secondes et atteint 200 km/h en 5,6 secondes!
Puisque la batterie est logée devant le siège baquet du passager, entrer dans le véhicule n’est pas chose aisée, surtout avec la cage de sécurité.
Après quelques contorsions, je me retrouve calé dans un siège Recaro très enveloppant. Un mécanicien serre les sangles du harnais à quatre points qui m’enserre le haut des cuisses et des épaules. Klaus Bachler, pilote autrichien qui court dans des épreuves d’endurance, m’explique qu’il va faire le premier tour en mode « course » (603 chevaux), puis le second en mode « qualification » avec toute la puissance disponible (1 073 chevaux).
Au démarrage, on n’entend aucun bruit de moteur, juste le sifflement de la pompe qui fait circuler l’huile du système de refroidissement. Les mécaniciens enfilent les roues sur leurs axes et les serrent avec une grosse visseuse portative. Le « clic » caractéristique d’une clé dynamométrique achève la préparation de la voiture, qui retombe au sol lorsque les vérins qui la maintenaient en l’air se rétractent.
La GT4 quitte le garage et atteint instantanément les 60 km/h autorisés dans la ligne des puits. Sans le moindre isolant phonique, le bruit du moteur électrique envahit l’habitacle. Je me demande à quoi va ressembler l’accélération une fois arrivé sur la piste.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









