
Passez au Salon
Le Journal de Montréal
Après presque deux ans de pandémie, le Salon du livre de Montréal effectue jeudi son retour au Palais des congrès de Montréal, au grand bonheur du directeur général, Olivier Gougeon, qui décrit l’événement en un seul mot : « Enfin ! »
L’édition 2021, qui se poursuit jusqu’au 28 novembre, se déroule sous le thème de la rencontre, un thème particulièrement bien choisi à un moment où on a tous envie de se retrouver.
Le déménagement du Salon du livre au Palais des congrès était initialement prévu pour l’édition 2019, qui a finalement eu lieu à la Place Bonaventure, pandémie oblige. Quant à l’édition 2020, elle a aussi souffert du confinement et a dû se dérouler en ligne. C’est donc jeudi que le Salon du livre effectue son retour tant attendu, réservant au passage quelques surprises.
Comment se déroulera l’événement avec les mesures sanitaires ?
Il faudra s’adapter à chaque instant, c’est sûr. Pour nous, la priorité n’a jamais été de faire l’événement à tout prix, mais si, et seulement si, on était en mesure de le tenir de façon sécuritaire. Il nous semblait évident qu’il fallait demander le passeport vaccinal à tout le monde, même avec l’amélioration de la situation. Ensuite, le port du masque va être obligatoire pour tout le monde.
D’où vous est venue l’idée pour la thématique de cette année ?
Le thème de la rencontre nous est venu d’emblée. On s’est dit « Enfin ! On peut se retrouver. Enfin ! On peut se rencontrer ». Ça fait deux ans qu’on est en pandémie, deux ans qu’on est censé faire un premier salon au Palais des congrès. C’est pour nous un moment très fébrile.
En plus des autres sous-thèmes de la rencontre des idées, de l’ailleurs, de demain et de Montréal, il y a aussi celui de la rencontre de l’autre, qui met particulièrement l’accent sur la diversité. Diriez-vous que la place accordée à la diversité cette année est plus importante que lors des éditions passées ?
J’aime dire que le Salon est au service du milieu du livre et qu’il se doit d’être la vitrine des préoccupations et des enjeux qu’illustrent les éditeurs. C’est un milieu qui montre, en ce moment, une grande volonté à s’ouvrir davantage. C’est très important pour nous. D’ailleurs, on a la chance cette année de faire écho au 10e anniversaire du Salon du livre des Premières Nations avec plusieurs activités, une table ronde et un kiosque spécialement réservé à la littérature autochtone au centre du Palais.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









