
Oser la vulnérabilité
Le Journal de Montréal
La vulnérabilité a souvent mauvaise presse, évoquant des images de fragilité et de faiblesse. Pourtant, la vulnérabilité est non seulement une marque d’authenticité, de force et de courage, elle est aussi essentielle aux relations encore plus satisfaisantes et significatives avec nos proches.
On connaît tous des personnes qui paraissent fortes, imperturbables, invulnérables, dont la carapace semble incassable, impénétrable. Voilà peut-être une façon de se positionner vis-à-vis de l’autre, de se valoriser, de se protéger... mais qui s’avère aussi très coûteuse. Cette approche peut nous empêcher de dire ce que l’on ressent réellement, de nous montrer tels que nous sommes et de créer des liens plus forts, durables et véritables.
La géométrie variable de la vulnérabilité
L’expression « deux poids, deux mesures » illustre bien notre rapport à la vulnérabilité. Il n’est pas rare qu’un fleuve sépare le dévoilement de soi d’une part, et d’autre part, l’accueil pourtant souvent favorable des limites, des failles ou des erreurs d’un ami, d’un conjoint ou encore d’un membre de la famille.
La perspective de dévoiler nos propres fragilités implique de risquer le jugement négatif d’autrui et nous apparaît trop souvent honteuse, voire impensable dans certains contextes. On l’assimile parfois aussi à de l’imperfection, voire à de la médiocrité, comme si tomber malade, traverser difficilement un deuil, perdre son emploi, ou vivre douloureusement une séparation était un crime !
Pourtant, devant une personne capable d’exposer ses doutes, de nommer ses limites, de reconnaître ses erreurs, nous éprouvons souvent une véritable admiration : quelle personne forte et courageuse !
Le pari souvent gagnant de la vulnérabilité
Nous sommes tous, un jour ou l’autre, habités par le doute ou submergés d’émotions. Afficher ou révéler une certaine vulnérabilité devant les autres, c’est avant tout montrer que nous sommes capables de reconnaître et de vivre nos émotions, et que nous privilégions la franchise et l’authenticité dans nos rapports interpersonnels : un atout des plus précieux et enrichissant.
En plus de nous rendre plus acces-sibles, cette attitude témoigne d’une marque de confiance auprès de l’autre, alors qu’on lui témoigne nos réels états d’âme.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









