
Mon évasion culinaire à l’Hôtel Quintessence
Le Journal de Montréal
Ce doux dimanche d’automne, alors que les feuilles multicolores décoraient le paysage de Tremblant, mon âme aventurière a décidé de répondre à l’appel du Nord. Notre destination ? L’épique Hôtel Quintessence, une oasis de luxe blottie dans les montagnes, où une escapade pas comme les autres nous attendait. C’est-à-dire parfaite.
Moi qui ne cesse de répéter à mes enfants que la perfection n’est pas de ce monde, j’admets qu’il existe quelques exceptions. J’ai découvert cet hôtel à l’aube de mes derniers jours avant de donner naissance à mon premier coco. Un séjour sublissime avant de plonger dans le chaos familial qui m’attendait et que j’aime tant.
Puis, l’idée justement de fuir mon chaos le temps d’un repas de conte de fées m’a enchantée au plus haut point. Un court road trip ensoleillé sur la 15 déserte un matin de week-end est déjà un moment pas banal.
Le royaume du confort
En arrivant, l’élégance de l’hôtel annonce le confort ultime, avec cette vue imprenable sur le lac miroitant les teintes de l’automne. Moi aussi, je veux ma photo Instagram d’automne !
La destination finale de notre aventure était notre réservation pour le lunch, où une table nous attendait au célèbre bistro de l’hôtel, un festin pour les sens en perspective.
Pour transformer l’expérience en brunch, on a demandé de nous servir des viennoiseries qui traîneraient sûrement encore dans la cuisine. Une mini touche pour faire exister le « breakfast et lunch ». Le bistrot ne sert pas le brunch, mais le personnel n’a aucunement refusé de rescaper une chocolatine pour nous la servir sur une planche de pierre chauffée et préserver le délice d’une boulangerie toute chaude.
Je vous décris les plats qu’on a partagés sous le pétillement joyeux des mimosas s’entrechoquant en un toast à l’amour et à l’aventure.
La salade Cobb classique comme un tableau riche en couleurs et en textures avec une vinaigrette au miel et au Piment d’Espelette rendant bien justice à la simplicité des ingrédients frais et à la complexité des saveurs bien équilibrées.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









