
Masterchef Québec: l’œuf ou la poule dans votre assiette?
Le Journal de Montréal
Cette semaine à Masterchef Québec, les concurrents ont prouvé que des ingrédients aussi simples que les œufs et le poulet pouvaient se transformer en mets épatants donnant envie de modifier nos sempiternelles recettes.
« L’œuf est l’un des ingrédients les plus utilisés en gastronomie à travers le monde », tandis que le poulet « est apprécié de tous les cuisiniers parce que c’est bien sûr délicieux et polyvalent », a décrit le juge Stefano Faita. Parmi les plats proposés par les concurrents, plusieurs ont suscité de bons commentaires des juges.
C’est le cas de Pierre-Alexandre, qui a cuisiné un flan d’œuf japonais cuit à la vapeur que le juge Martin Picard a comparé à un plat de finale. Stefano, pour sa part, a souligné que ce mets était à la fois soyeux, vinaigré, sucré, épicé... Selon lui, « tout ce que tu veux dans un plat est là ».
Plus tard dans la semaine, Pierre-Alexandre a préparé un haut de cuisse de poulet dans sa peau, avec céleri-rave, portobello et noisettes, puis a été félicité pour sa sauce concoctée en 45 minutes. Martin a approuvé sa technique consistant à couper les parties inutilisées du poulet en petits morceaux, pour obtenir une coloration sur chacune des surfaces et transmettre le goût à la sauce.
De son côté, Bianka a créé un velouté de pois verts garni d’un œuf poché, sablé au cèdre et noix de pin, qui a ravi les papilles de Martin. « Tu avais plusieurs items dans ta préparation, autre que la soupe, et tu as porté un soin particulier à chacun d’eux, pour qu’ils aient leur propre saveur », a-t-il remarqué, en découvrant de nouvelles saveurs à chaque bouchée.
Le goût recherché du poulet Korma, sauce raïta, noisettes au zaatar et pain naan de Josie a aussi eu un vif succès. « Ce que tu as fait avec ta sauce, c’est assez exceptionnel. D’avoir autant de profondeur en composant ton propre mélange d’épices, c’est très risqué et ton pari est gagné, c’est succulent », a dit Martin.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

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Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

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