
Le sort de l'ex-juge Jacques Delisle connu au plus tard le 8 avril
Le Journal de Montréal
L’ex-juge Jacques Delisle saura au plus tard le 8 avril s’il réussira à éviter un second procès pour le meurtre prémédité de son épouse.
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Le juge Jean-François Émond a désormais tout en main pour trancher au sujet de la requête en arrêt des procédures pour abus et délais déraisonnables initiée par la défense.
«Ça ne devrait pas tarder», a fait savoir le magistrat, qui devra décider si un arrêt des procédures s’impose ou si, au contraire, un second procès doit avoir lieu.
Le juge Émond n’exclut pas, toutefois, de se prononcer avant cette date.
«Si je suis prêt, je n’attendrai pas inutilement», a-t-il fait savoir lors d’une brève rencontre tenue mercredi au palais de justice de Québec.
«Fautes graves»
Déposée en août dernier, la requête en arrêt des procédures a été débattue durant trois jours en novembre dernier. Une ordonnance de non-publication nous empêche de rapporter la preuve contenue dans la cinquantaine de pièces relatives à cette affaire.
