
Le Kia Telluride se prépare à toute une transformation intérieure
Le Journal de Montréal
Comme pour son cousin, le Hyundai Palisade, c’est le moment d’une mise à jour de milieu de génération pour le Kia Telluride. L’année-modèle 2023 sera sa quatrième sur le marché et, malgré tous les prix et éloges récoltés jusqu’à maintenant, la compagnie veut relever la barre d’un bon cran.
C’est le 13 avril au Salon de l’auto de New York que le dévoilement du Telluride modernisé aura lieu. Deux images sombres publiées aujourd’hui par Kia dans le but de nous titiller permettent de voir d’importants changements, surtout à l’intérieur.
D’abord, l’instrumentation plutôt classique et l’écran central séparé seront remplacés par une interface ultra large combinant deux affichages numériques (12 pouces chacun, selon toute vraisemblance), suivant l’exemple du multisegment électrique EV6 et du Sportage 2023 entièrement redessiné. Étant donné le statut de VUS porte-étendard de Kia, c’est bien mérité.
On remarque ensuite un nouveau volant, une planche de bord redessinée et épurée intégrant une garniture contrastante qui met l’accent sur la largeur du véhicule, de même qu’un levier de vitesses qui semble avoir disparu de la console, sans doute remplacé par une série de boutons. Attendons-nous également à de nouveaux revêtements de sièges et à plus de commodités.
Pour ce qui est de l’extérieur, la refonte est plus discrète, mais on note quand même une devanture redessinée au niveau du pare-chocs et de la calandre, ajoutant de la robustesse au Telluride.
À propos, Kia mentionne une nouvelle version X-Pro axée sur l’aventure aux États-Unis. Celle-ci devrait recevoir des jantes au fini noir mat, des pneus tout-terrain, des modes de conduite supplémentaires et autres trucs du genre. Malheureusement, on ne risque pas de la voir au Canada, comme c’est le cas du Sportage X-Pro. En revanche, une version X-Line semblable à celle des Sportage et Sorento est tout à fait possible.
Si d’autres changements sont à prévoir, le V6 de 3,8 litres, lui, devrait rester tel quel. Rappelons qu’il développe 291 chevaux, consomme 11,3 L/100 km en moyenne et permet de remorquer jusqu’à 5 000 livres.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









