
Le Circuit électrique célèbre son 10e anniversaire
Le Journal de Montréal
En 2022, le Circuit électrique d’Hydro-Québec célébrera son dixième anniversaire. Pour souligner cette première décennie, Antoine Joubert et Germain Goyer ont reçu Jonathan Côté, porte-parole du Circuit électrique à Hydro-Québec, à l’émission Le Guide de l’auto sur QUB Radio.
Avec lui, ils en ont aussi profité pour discuter des coûts liés à la recharge ainsi que des enjeux lorsque la température est particulièrement froide.
En 2012, l’automobile électrique était on ne peu plus marginale. Grâce à son flair, Hydro-Québec a pu mettre sur pied le premier réseau de bornes de recharge pour véhicules légers au pays.
« On voyait qu’il y avait une logique dans le fait qu’Hydro-Québec réponde à la demande de recharge électrique. À ce moment, il n’y avait pas d’entreprise privée qui s’était accaparé le marché. Et Hydro-Québec avait un intérêt naturel à favoriser l’électrification des transports. Il fait partie des objectifs de la société d’État de décarboner l’économie », raconte M. Côté.
Alors que le prix du litre d’essence tend à monter depuis quelques mois, nombreux sont les automobilistes qui remettent en question leur mode de transport actuel. Or, avant de faire le grand saut vers la voiture hybride rechargeable ou entièrement électrique, il est primordial de jeter au préalable un coup d’œil au coût de recharge d’un tel véhicule.
Comme l’expliquait sur nos ondes M. Côté, « il existe deux catégories de borne. Il y a les bornes standard de 240 V. Notre réseau en compte près de 3 000 unités. Elles vont prendre plus de temps pour charger, soit peut-être six, huit ou dix heures en fonction de la capacité de la batterie du véhicule et son autonomie restante une fois arrivé à la borne. Certaines proposent une tarification fixe de 2,50 $ pour la recharge et d’autres coûtent 1 $ par heure. »
En lien avec les bornes de recharge rapide, M. Côté mentionnait que « leur fonction différente. Elles sont utilisées lorsqu’on veut parcourir une distance plus grande que celle de l’autonomie maximale du véhicule. On les retrouve principalement près des grands axes routiers. Elles vont coûter plus cher (12,08 $ de l’heure pour une borne de 50 kW), mais on y reste beaucoup moins longtemps. »
Alors que le Québec négocie avec un mois de janvier particulièrement froid cette année, il est légitime de se questionner les impacts d’une telle température sur l’autonomie et la recharge d'un véhicule électrique.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









