
Froid polaire en forêt boréale
Le Journal de Montréal
Le parc national des Monts-Valin est reconnu pour sa vallée des fantômes. Des milliers d’arbres momifiés d’un épais manteau de neige durcie, valsant sous le vent, confèrent à l’endroit une ambiance quelque peu hantée. Le sommet le plus élevé, le pic Dubuc, culmine à 984 mètres. Y faire de la raquette ou du ski nordique nous plonge dans un univers mystérieux. Exposé aux excès de dame Nature, l’endroit devient un terrain de jeux idéal pour les adeptes de l’hiver.
Dans les environs du pavillon Antoine-Dubuc, au bord du lac aux Canots, les paysages sont tout aussi spectaculaires. Après une soirée dans un hébergement de type EXP, très confortable devant le poêle qui n’a pas dérougi, je règle le réveil pour le lever avant l’aube. À peine sorti, le froid me saisit instantanément. Le désir de retourner sous les draps m’envahit. Toutefois, la lumière s’annonce magnifique. Sans signal cellulaire, impossible de regarder le mercure. Par expérience, quand les narines me collent ensemble, c’est qu’il fait sous les -30 °C. À chaque pas, mes raquettes en plastique font un bruit inquiétant. Vont-elles tenir le coup ? Une fois sur le lac d’altitude, le vent du nord ajoute une couche à cet inconfort. Au moment où les rayons dorés illuminent ce brouillard givré sur fond de forêt boréale, j’en oublie mes doigts. Chose sûre, ils sauront plus tard me rappeler qu’ils étaient bien gelés. Cependant, les froids intenses conjugués aux premières lumières du jour offrent des images sobres et mystérieuses à la fois !
Appareil : Canon EOS 5D MK III
Objectif : EF 70-200mm F/2.8L IS USM
Exposition : 1/500 s à F/8
ISO : 250

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









