
Frais d’immatriculation pour véhicules de luxe : une réglementation à changer?
Le Journal de Montréal
La SAAQ considère toujours le prix d’une voiture de luxe pour des frais d’immatriculation supplémentaires à 40 000 $. Ce prix est maintenant le prix d’un véhicule moyen. Y a-t-il dans les plans de la SAAQ un ajustement à venir?
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Bonjour Bruno,
Vous faites ici référence aux droits d’immatriculation additionnels pour les véhicules de luxe. On y stipule que tous les propriétaires de véhicules de promenade et camions légers âgés de moins de sept ans et dont la valeur est supérieure à 40 000 $ doivent payer un frais additionnel lors de leur immatriculation.
Le montant à payer représente 1% par année, calculé sur la partie de la valeur qui excède 40 000 $.
Maintenant, est-ce qu’un véhicule de plus de 40 000 $ doit réellement être considéré comme un modèle de luxe? Après tout, le prix moyen d’un véhicule neuf vendu au Québec dépasse désormais la barre des 40 000 $. Il y a des gens au gouvernement qui seraient peut-être dus pour aller faire un tour chez le concessionnaire!
Précisons que ce n’est pas à la SAAQ que revient le mandat de changer les paramètres de cette réglementation. C’est plutôt le ministère des Finances qui a le pouvoir de la modifier.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









