
Forcée de tomber en amour
Le Journal de Montréal
J’ai vécu du stress, de l’anxiété, j’ai perdu quelques-uns de mes repères à cause de la COVID-19. Mais ce virus m’a aussi fait connaître un amour véritable.
Février 2020 : j’ai 23 ans. J’habite avec mes deux meilleures amies et, chaque soir, nous recevons d’autres amis à la maison. Notre appartement est un vrai moulin. Toutes et tous sont les bienvenus, tout le temps. C’est trippant, c’est vivant.
Mars 2020 : à cause du confinement, je me retrouve seule avec mes deux colocs. Notre appartement n’est plus un moulin. Mes autres amis me manquent. Je fais avec eux des visioconférences, jusqu’à ce que je m’en lasse.
Juillet 2020 : je décide de déménager seule. C’est un peu vertigineux, car c’est une première pour moi. Je redoute que la pandémie m’empêche de combler cette nouvelle solitude en faisant ce que j’ai toujours fait : être constamment avec des gens.
À partir de ce moment, j’ai dû passer du temps en solo avec une personne que je ne connaissais finalement pas tant que ça : moi-même.
Comme probablement plusieurs autres gens, avec la pandémie, j’ai été forcée à m’aimer plus.
Connexion avec soi
En étant pognée avec moi-même, j’ai appris à me faire plaisir, tout comme à respecter mes limites. J’ai cerné mes défauts et mes qualités. J’ai pris le temps de me traiter avec soin, avec amour.
J’ai eu le temps de prendre mon temps pour me conquérir. Je me suis abandonnée, tout doucement, comme je l’aurais fait avec un nouveau partenaire.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









