
Faire des efforts c'est coûteux ou payant?
Le Journal de Montréal
Notre relation à l’effort est ambivalente. Nous préférons l’éviter sauf quand nous anticipons être récompensés. Cependant, il ne faut pas laisser notre aversion pour l’effort nous priver des plaisirs qu’il apporte.
«Ça a l’air compliqué!» «J’ai moins envie de m’y mettre.» «C’était plus amusant que prévu».
Faire un effort c’est mobiliser de l’énergie physique ou mentale pour atteindre un but. Quand nous voulons résoudre un problème, nous récupérons les informations et les actions pertinentes et nous construisons et évaluons des solutions possibles.
Nous estimons la complexité, les coûts et les bénéfices attendus. Nous coordonnons toutes ces activités par des circuits de contrôle cognitif dans notre cerveau.
Il faut plus d’activité cérébrale pour multiplier 3 x 6 que pour 3 x 16. Pour y arriver, notre cerveau éveille nos circuits de mémoire et nos circuits de contrôle mental avec des molécules comme l’adrénaline. Nous pouvons même mesurer l’effort cérébral indirectement par la pupille de notre œil.
La pupille réagit à l’adrénaline produite pendant ces efforts et se dilate plus quand nous pensons à des problèmes plus compliqués.
Parfois, faire un effort c’est rendre une activité plus intensive (plus concentrée, plus rapide...). Nous avons envie d’investir plus d’énergie quand nous sommes motivés par les conséquences, quand l’enjeu en vaut la peine à nos yeux. Mais quand nous nous sentons contraints, fatigués ou peu motivés, nous anticipons plus la douleur de l’effort.
Certains efforts sont associés à du stress ou de l’épuisement (ex.: les devoirs vus comme compliqués), ce qui nous pousse à les éviter si possible. Parfois, faire un effort ressemble à gravir une montagne en n’y voyant que les douleurs et pas de plaisir. Dans de telles situations, nous pouvons rapidement développer une aversion aux efforts (ex.: école, sports, travail, rénovations).
Certaines personnes se poussent de façon intense. C’est souvent le cas des personnes dans des domaines compétitifs (athlètes, professionnels), celles qui ont des défis d’adaptation (séparation, emploi, immigration), celles qui ont une anxiété de performance ou encore celles qui se définissent par leurs réalisations aux dépens des autres aspects de la vie.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









