
Failles chez Apple: comment fonctionne une attaque «zéro-clic»?
Le Journal de Montréal
Cette semaine, Apple a corrigé une faille de sécurité majeure qui permettait à des logiciels espions de s'introduire dans les iPhone et les iPad, en utilisant des attaques «zéro-clic».
• À lire aussi: Lancement des nouveaux iPhone 13, mini, Pro et Pro Max
• À lire aussi: Apple: nouveaux iPhones, mêmes problèmes
Celles-ci se déploient dans les appareils sans même que leur propriétaire ait à cliquer sur un lien. Comment fonctionnent-elles et que peut-on faire pour les stopper?
«Les attaques zéro-clic sont une menace d'un niveau supérieur» aux attaques traditionnelles, explique John Scott-Railton, chercheur au Citizen Lab, le centre de cybersécurité de l'Université de Toronto qui a découvert la faille chez Apple.
Les logiciels espions classiques nécessitent en effet que la personne visée par l'attaque clique sur un lien ou un fichier piégé pour installer le programme sur leur téléphone, tablette ou ordinateur.
Au contraire, lors d'une attaque zéro-clic, le logiciel se faufile dans l'appareil sans que la personne visée n'ait à cliquer sur un quelconque lien.
Une technique cruciale pour les potentiels espions, à l'heure où les utilisateurs sont de plus en plus méfiants à l'égard des messages qu'ils reçoivent.
Les attaques zéro-clic exploitaient une faille dans le service de messagerie Apple iMessage afin d'installer discrètement Pegasus, un logiciel invasif capable de transformer un téléphone en un mini mouchard.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









