Des ingénieurs américains ont conçu un robot oiseau capable de se poser et d’agripper des objets
Le Journal de Montréal
WASHINGTON | Une équipe d’ingénieurs de la prestigieuse université américaine de Stanford a créé des pinces robotiques pouvant être fixées à des drones, transformant ces derniers en oiseaux robots capables de saisir des objets ou de se percher sur diverses surfaces.
• À lire aussi: La Corée du sud teste des robots miniatures comme aide pédagogique dans les écoles maternelles
• À lire aussi: [BALADO] Les robots policiers patrouillent les rues de Singapour
Ces nouvelles capacités pourraient permettre aux robots volants d’économiser leurs batteries au lieu de devoir faire du surplace -- par exemple lors d’opérations de recherches de survivants -- ou aider les biologistes à prélever plus aisément des échantillons en forêt.
«Nous voulons être capables d’atterrir n’importe où, c’est la raison pour laquelle c’est enthousiasmant d’un point de vue de l’ingénierie et de la robotique», a expliqué à l’AFP David Lentink, coauteur d’un article à propos de cette innovation publié mercredi dans la revue Science Robotics.
Comme souvent en robotique, ce projet s’est inspiré de comportements animaliers -- en l’occurrence de la façon dont les oiseaux se posent et s’accrochent à des branches -- pour s’affranchir de difficultés techniques .
Mais imiter ces volatiles, à qui des millions d’années d’évolution permettent de s’agripper à des branches de différentes tailles ou formes, parfois couvertes de lichen ou rendues glissantes par la pluie, n’est pas tâche aisée.
À cette fin, l’équipe de Stanford a étudié grâce à des caméras haute vitesse la façon dont de petits perroquets atterrissaient sur des perches variant en taille et en matériau: bois, mousse, papier de verre et téflon.
Les perches étaient aussi équipées de capteurs enregistrant la force avec laquelle les oiseaux se posaient et redécollaient.
Depuis une décennie, l’éventail de constructeurs et de modèles offrant la boîte manuelle rétrécit continuellement. On attribue sa disparition au resserrement des normes antipollution, aux ventes marginales, aux contraintes liées aux assistances à la conduite ainsi qu’au retrait progressif des véhicules à essence au profit des hybrides et électriques.
Le Scout a initialement été commercialisé sous la bannière International Harvester de 1961 à 1980. Depuis 2020, le groupe Volkswagen détient le nom de Scout dans l’optique de distribuer un VUS et une camionnette 100 % électrique. Chose promise, chose due : Scout Motors présente respectivement le Traveler et le Terra.
Les nouvelles ne sont pas très bonnes ces temps-ci pour le constructeur Stellantis, qui a dû réajuster sa production, supprimer plusieurs emplois, fermer un centre d’essais et affronter de nouvelles menaces de grève des employés, tout ça pendant que les profits baissent, que les concessionnaires grognent et que le grand patron Carlos Tavares a signifié son départ en 2026.
Nice, France - Après une année 2023 où les nouveaux modèles n’ont pas été légion, voilà que la marque Audi renouvelle sa gamme à la vitesse grand V. Des modèles à motorisation électrique se sont ajoutés, tels que les Q6 et SQ6 e-tron, les nouvelles déclinaisons de la e-tron GT ont fait l’objet d’une substantielle mise à niveau, et l’arrivée sur les marchés de la nouvelle A6 e-tron est imminente.
Considéré comme l’un des principaux représentants de la nouvelle génération d’auteurs italiens de romans noirs et de thrillers best-sellers, Piergiorgio Pulixi sera de passage à Québec à l’occasion du festival littéraire Québec en toutes lettres. Ses fans auront l’occasion de faire sa connaissance et de découvrir son dernier roman, La librairie des chats noirs. Il s’agit de la première enquête d’une nouvelle série très addictive, dans laquelle l’auteur rend hommage à la littérature policière.