
Dans l’erreur sur les logements sociaux L'ÉNONCÉ LES FAITS
Le Journal de Montréal
Débusquer les fausses nouvelles, vérifier les déclarations des politiciens, trouver les vrais chiffres : notre Bureau d’enquête, basé à Montréal, Québec et Ottawa, se spécialise dans l’art de rétablir les faits. Chaque samedi, nos journalistes et recherchistes vous présentent leurs trouvailles pour vous permettre d’y voir plus clair dans l’actualité de la semaine.
Le candidat à la mairie de Montréal, Balarama Holness, a écrit dans un tweet lundi qu’en « quatre ans, la mairesse [Valérie Plante] n’a construit que 1082 logements sociaux, alors que 24 000 personnes attendent toujours ! Des politiques cohérentes doivent être adoptées pour le bien-être de la santé urbaine et pour résoudre la crise du logement. »
Au 30 septembre dernier, on dénombrait 2015 logements sociaux qui étaient, soit construits (1137), soit en construction (878), selon des chiffres fournis par la Ville de Mont-réal. De plus, 2235 autres logements étaient en conception, pour un total de 4250 unités.
Valérie Plante n’atteindra vraisemblablement pas sa promesse de fournir 6000 nouveaux logements sociaux d’ici la fin de 2021. Selon la Ville, quelques raisons expliquent ce retard, soit l’absence ou le sous-financement des programmes d’AccèsLogis au cours des deux dernières années, ainsi qu’une forte augmentation des coûts de construction et les contraintes de la pandémie.
Nous avons tenté d’obtenir par courriel des explications sur les chiffres avancés par M. Holness auprès de son parti, Mouvement Montréal, sans succès.
–Marie Christine Trottier
C’est le coût du loyer moyen d’un logement inoccupé en 2020 dans le grand Montréal, selon un rapport de l’Observatoire Grand Montréal de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM).
Il s’agit d’une augmentation de 32 % par rapport à 2019, alors que le loyer moyen était de 910 $. La COVID-19 est en partie liée à cette augmentation, car de nombreux logements à loyer élevé destinés aux touristes se sont retrouvés sur le marché, explique la CMM.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









