
7 expériences gastronomiques à mettre sous le sapin
Le Journal de Montréal
À court d’idées cadeaux pour le fin gastronome de la famille ? Pourquoi ne pas lui offrir une soirée ou un forfait gastronomique dont il se souviendra toute sa vie ?
Voici six expériences gastronomiques qui se hissent parmi mes favoris de l’année, en plus d’une option très intéressante pour les indécis.
Serez-vous la personne qui l’offrira, ou qui se l’offrira ?
Un souper au restaurant Le Hatley, une nuitée au Manoir Hovey, un grandiose petit-déjeuner, suivi par une expérience thermale au spa : c’est ce à quoi peut ressembler un séjour de rêve. Dans cet établissement de la grande et prestigieuse famille Relais & Châteaux, le temps semble s’arrêter. Niché sur les rives du lac Massawippi, dans la dynamique région des Cantons-de-l’Est, on prend plaisir à s’installer dans la salle à manger historique Le Tap Room pour un apéro, avant de se laisser bercer par les prouesses gastronomiques du chef Alexandre Vachon et sa précieuse équipe. L’accès au spa étant inclus pour tous les résidents de l’hôtel (75 $ aux non-résidents), on ne doit pas repartir sans avoir profité des bienfaits du circuit thermal. Le restaurant Le Hatley est aussi accessible aux non-résidents du Manoir Hovey. D’ailleurs, je conseille fortement d’y prendre le petit-déjeuner !
Les Mal-Aimés n’est pas un restaurant comme les autres. Pour se rendre, il faut d’abord zigzaguer dans les champs de légumes, avant d’être accueilli par un sabrage de vin pétillant par le duo chef-jardinier Daniel Charbonneau (anciennement chef-propriétaire du restaurant L’empreinte, à Sherbrooke) et Yannick Côté (Jardinier Déchaîné). La suite se passera dans la bâtisse vitrée conçue sur pièce pour les clients, qui seront aux premières loges d’un spectacle en cuisine, mais aussi par celui de la nature. Le menu du soir est dicté par une valse de 7 services (10 sur demande) du vendredi au dimanche, tandis qu’on peut expérimenter un 4 services le vendredi à midi.
Treater n’est pas un restaurant, mais plutôt une application de cartes-cadeaux numériques utilisables dans les meilleurs restaurants de Montréal. Vous savez que la personne adorerait recevoir une expérience dans un très bon restaurant, mais n’avez aucune idée des endroits les plus prisés de la Métropole ? Plutôt bar à vin ou restaurant chic ? Ambiance posée ou animée ? Menu dégustation ou à la carte ? Avec une cinquantaine d’établissements participants soigneusement sélectionnés par l’équipe (incluant une description pour chacun), vous pouvez être sûr de faire un heureux. L’achat de cartes-cadeaux peut se faire soit par l’application gratuite Treater soit sur le site web.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









