
Un Mondial de la bière réinventé
Le Journal de Montréal
Alors que la plupart des festivals de bière ont été annulés cet été toujours en raison de la pandémie, le Mondial de la bière, lui, est de retour à Montréal pour sa 27e édition, dans une version réinventée qui donne la part belle aux microbrasseries québécoises.
Dès l'ouverture, à 17 h, jeudi, de nombreux amateurs faisaient la file pour entrer dans la cour de la Gare Windsor. Autour d'un bar central une gigantesque terrasse a été installée, avec tables, parasols et chauffe-terrasses, afin d'accueillir 450 personnes à la fois, pour des séances maximales de trois heures.
Quelque 150 bières sont offertes en dégustation, mais aucun kiosque individuel pour les microbrasseries n'est présent cette année. Pour satisfaire les conditions des autorités de santé publique, le Mondial a dû repenser sa présentation, nous a expliqué Jeannine Marois, cofondatrice et PDG de l'événement depuis sa fondation en 1994, lors de notre visite au Mondial.
«C'est l'occasion d'essayer une nouvelle formule, où les festivaliers peuvent s'asseoir pour déguster leurs bières, à une table qui leur est réservée. C'était une demande qu'on nous faisait souvent», a mentionné Mme Marois.
Si d'ordinaire le Mondial accueille des brasseurs étrangers et que son menu de bières est constitué à 25 % d’importations, il n'en est pas de même cette année, avec seulement 5 % de bières importées, a-t-elle souligné.
«Ce sont des bières de conservation longue qu'on avait importées pour l'événement de 2020, mais depuis le début de la pandémie, l'importation était carrément impossible. Si peut-être ça vient de recommencer, ça fait quelques semaines seulement et c'était trop serré pour qu'on les reçoive à temps pour l'événement. L'importation privée prend de quatre à six mois.»
La tenue du Mondial n'a été confirmée qu'en juillet dernier. Même si des brasseurs étrangers ont levé la main pour y participer, leurs produits n'auraient pas pu les accompagner à cause des délais. Quelques bières de la Norvège, de la Pologne et de la Belgique figurent quand même au menu du Mondial 2021.
Autre touche internationale à l’événement: la présence de deux brasseuses brésiliennes nouvellement québécoises! Invitées par le Mondial en 2017, Tatiana Fulton et Patricia Rios ont décidé de déménager leur brasserie Overhop bières artisanales, de Rio à Saint-Jean-sur-Richelieu. «On inaugure un salon de dégustation en novembre», nous a confié Patricia Rios.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.








