
L'actrice Audrey Hepburn a connu une fin de vie difficile, révèle une nouvelle biographie
Le Journal de Montréal
Associée à la beauté et l’élégance, l’actrice britannique oscarisée qui a joué dans une trentaine de films a incarné le succès durant quelques décennies. Si elle a eu la chance de vivre dans une famille aisée et de connaître une brillante carrière, elle a aussi connu son lot de malheurs. Ayant vécu sous l’occupation durant la Seconde Guerre mondiale, elle a dû régulièrement se mettre à l’abri lors de bombardements en plus d’être atteinte d’un cancer dont elle ne se remettra jamais.
Considérée comme l’une des plus grandes actrices hollywoodiennes des années 1950 et 1960, Audrey Hepburn a été comparée à l’époque à la célèbre icône Marilyn Monroe.
Elles étaient de la même génération et pratiquaient le même métier ; pourtant, leur beauté n’avait rien de comparable. Tandis que Marilyn était pulpeuse et parfois provocante, Audrey, à l’inverse, paraissait réservée, était extrêmement mince et incarnait la dignité. De plus, elle était dotée d’un charme renversant.
C’est elle qui faisait ses choix de vêtements pour ses personnages dans les films où elle jouait. D’ailleurs, dans son livre, l’auteur Marc Lemonier prend plaisir à comparer l’actrice à une véritable Parisienne par ses choix vestimentaires.
Née en Belgique en 1929, Audrey est issue d’une famille d’aristocrates. Son père serait, selon certaines sources, un descendant de la reine d’Écosse, Marie Stuart. Chose certaine, il était un riche banquier anglo-irlandais. Quant à sa mère, elle était la baronne néerlandaise Ella van Heemstra, rien de moins.
Sa famille voyage beaucoup, si bien qu’Audrey devient polyglotte dès l’âge de 13 ans. Elle passe d’un pensionnat à l’autre et est éduquée de manière très stricte. Pourtant, elle demeure une enfant joueuse, expressive et passionnée de danse. À 11 ans, elle commence des cours de danse classique au conservatoire.
Si tout cela ressemble à une enfance dorée, la réalité est tout autre. Audrey connaît une enfance difficile. À peine mise au monde, elle est atteinte de coqueluche et frôle la mort.
Puis, à six ans, elle voit son père, futur militant pronazi, quitter le domicile familial. Ses parents divorcent peu de temps après. Sa mère l’envoie aux Pays-Bas, un pays neutre, dans le château de Zijpendaal, à Arnhem, pour la protéger de la guerre. Pourtant, sa ville d’adoption est bombardée. Les Pays-Bas tombent sous l’occupation.
Aux Pays-Bas, Audrey subit la faim. Parfois, elle n’a rien d’autre que des bulbes de tulipe pour se nourrir. Elle maigrira au point de devenir squelettique, en plus de souffrir de dépression. De plus, elle verra son oncle, le comte Otto van Limburg Stirum, fusillé par les nazis.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.








