
Wayne Gretzky, Nick Suzuki, Juraj Slafkovsky: quelle place prend l’intelligence au hockey?
TVA Nouvelles
Ce je-ne-sais-quoi faisait défaut chez la plupart des joueurs qui ont été considérés comme les plus grands flops de l’histoire de la LNH. Si vous voulez devenir un grand joueur de hockey et que vous ne regardez que des faits saillants sur TikTok, vous risquez de manquer de ce je-ne-sais-quoi. Quand on parle de Juraj Slafkovsky, on a souvent l’impression qu’il n’a pas ce je-ne-sais-quoi.
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Wayne Gretzky, lui, l’avait ce je-ne-sais-quoi. C’est d’ailleurs ce qui explique comment, sans être le plus grand ni le plus vite, Gretzky a établi tellement de records inatteignables qu’il est devenu «La Merveille».
Ce je-ne-sais-quoi, c’est le mystérieux, mais indispensable et complexe QI hockey: l’intelligence sur la glace, le sens du jeu. Le hockey sense, dans le jargon.

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.

Alexander Karmanov fait 7 pieds 3 pouces sur patins et ce n’est même pas une échalotte. À 17 ans, il pèse 280 lb. Mettons quand même une chose au clair, le plus grand hockeyeur au monde aspire à bien plus que devenir votre bête de cirque. Il est capable de jouer et il a une chance réelle de passer à l’histoire dans la LNH.











