
Voici 8 conférences et activités gratuites sur l’impact du numérique dans nos vies
Le Journal de Montréal
Sous le thème «Humains derrière l’écran», les Rendez-vous numériques de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) proposent huit conférences et activités gratuites en ligne qui auront lieu du 2 au 7 novembre.
C’est la troisième édition de cet événement dont le but est d’aider les citoyens de tous les âges à mieux vivre dans un monde de plus en plus numérique.
1) L’art d’être parents à l’heure numérique
Vous cherchez à comprendre l’effet des écrans sur vos enfants? La conférence «L’art d’être parents à l’heure numérique», de Geneviève Laroche, agente de promotion et de prévention au CISSS du Bas-Saint-Laurent, pourrait vous intéresser. Mme Laroche y présentera les conséquences et les enjeux de cette nouvelle réalité, tout en offrant des outils pour aider vos jeunes à demeurer concentrés, malgré les distractions qui foisonnent sur les réseaux sociaux.
2) Bien vieillir: maison intelligente et nouvelles technologies
Les nouvelles technologies peuvent-elles améliorer la qualité de vie ou même le maintien à domicile des personnes âgées? La conférence «Bien vieillir: maison intelligente et nouvelles technologies», avec Maxime Lussier, neuropsychologue et postdoctorant en sciences de la réadaptation à l’Université de Montréal, offrira un survol des technologies et abordera la question de leur efficacité dans le cadre du vieillissement à domicile.
3) Les chambres d’écho des médias sociaux
Les algorithmes des réseaux sociaux nous exposent en priorité à des contenus qui renforcent et amplifient nos croyances et nos opinions. Ils pourraient même nous empêcher d’être confrontés à des arguments et à des faits qui les contredisent. Vivons-nous dans des chambres d’écho médiatiques?
Joignez-vous à une table ronde pour en discuter avec des experts de la question: Colette Brin, professeure au Département d'information et de communication et directrice du Centre d’études sur les médias de l’Université Laval, Jonathan Roberge, professeur à l’Institut national de recherche scientifique, et Simon Thibault, professeur de science politique à l’Université de Montréal.
