
Technologies de l’information: Montréal doit faire face à la concurrence pour attirer les talents
Le Journal de Montréal
En raison du télétravail, la création d’emplois dans le secteur des technologies de l’information s’est accrue à Montréal depuis la pandémie, la métropole faisant face à une concurrence féroce des autres grandes villes nord-américaines pour attirer les talents.
• À lire aussi: Québec injecte 151 M$ pour des emplois en TI
C’est la conclusion à laquelle est parvenue une étude dévoilée mercredi par l’Institut du Québec, Montréal International et la Chambre de commerce du Montréal métropolitain.
Le rapport compare la métropole québécoise avec 13 grandes villes nord-américaines similaires en termes de démographie et d’emplois en TI.
Selon l’étude, le nombre de professionnels en TI a augmenté de 30 000 à Montréal entre 2016 et 2020, alors qu’il a bondi de 15,7% de 2019 à 2020, en raison du télétravail.
Cette performance plaçant Montréal en tête des métropoles d’Amérique du Nord est nuancée par le déficit qui touche la moitié des professions des technologies de l’information et qui risque de persister à moyen terme.
Le taux de postes vacants est de 2,7%, au-dessous des 3,3% observés dans l’ensemble des secteurs économiques du grand Montréal, dont le développement économique repose en grande partie sur les enjeux de main-d’œuvre et de talents.
Les trois organismes recommandent notamment de miser sur la formation, d’aider les entreprises à faire face à la concurrence et de renforcer l’attractivité de Montréal dans un marché d’emploi sous tension.
«Avec le virage numérique qui s'accélère, toutes les industries misent actuellement sur les professionnels en TI pour maintenir et développer les systèmes indispensables à leur croissance», a indiqué Emna Braham, directrice adjointe à l'IDQ. «Dans ce contexte, la rareté de talents est un risque fort préoccupant pour toutes les organisations.»

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.







