
Près d’un million$ détournés
Le Journal de Montréal
Le grand patron du Réseau des carrefours jeunesse-emploi du Québec est soupçonné d’avoir fraudé l’organisme sans but lucratif de près d’un million de dollars à l’aide d’une fausse compagnie et d’une fausse fondation qu’il a lui-même créées.
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Selon nos informations, les doutes sur le directeur général du Réseau des carrefours jeunesse-emploi du Québec (RCJEQ), Alexandre Soulières, qui a démissionné à la fin septembre, avaient commencé quelques semaines plus tôt.
Des employés avaient décelé des irrégularités dans les finances de ce regroupement voué à la défense des jeunes adultes qui veulent intégrer le marché du travail.
« On ne se doutait pas de l’ampleur de ce qu’on venait de trouver », affirme confidentiellement une source au sein de l’organisme.
Les vérifications comptables ont pu confirmer qu’entre les mois de mai 2020 et d’août 2021, l’ancien conseiller politique de Jean Charest se serait fait rembourser frauduleusement 808 063 $ en frais de formation.
Cela « excède de manière ahurissante la permission de dépenser ou d’être remboursé prévue » par les politiques internes de l’organisme, allègue le RCJEQ dans une requête judiciaire déposée pour tenter de se faire rembourser par son ex-directeur.
Une plainte à la police de Montréal a aussi été déposée ; l’enquête criminelle est déjà en branle.
Les anciens collègues d’Alexandre Soulières ont aussi été estomaqués de savoir que leur ancien patron aurait transféré, à même les comptes de l’organisme, la rondelette somme de 17 700 $ dans son propre Régime enregistré d’épargne-retraite (REER) en avril dernier.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.







