
Meurtre d'Adrienne McColl: battue, étranglée et jetée en bordure d’une route de gravier
Le Journal de Montréal
CALGARY | La jeune Albertaine qu’un Québécois est accusé d’avoir tuée il y a près de 20 ans aurait reçu plusieurs coups à la tête avant d’être étranglée à mains nues, puis déplacée en bordure d’une route.
• À lire aussi: Meurtre d'Adrienne McColl: son ADN était sur un jean et une voiture
• À lire aussi: Meurtre d'Adrienne McColl: deux différentes versions après la mort de sa copine
• À lire aussi: Meurtre d'Adrienne McColl: la défense remet en doute les méthodes des policiers
Ce sont les conclusions auxquelles est parvenue la Dre Elizabeth Brooks-Lim quant à la mort d’Adrienne McColl.
Selon la Couronne, la femme de 21 ans aurait été assassinée le soir de la Saint-Valentin en 2002, à Calgary.
Son corps a été trouvé trois jours plus tard par un cowboy qui déplaçait son troupeau en bordure d’une route de campagne de Nanton, à une heure au sud de la métropole albertaine.
Son copain de l’époque, le Québécois Stéphane Parent, subit actuellement son procès pour ce meurtre non prémédité.
Ce n’est pas la Dre Brooks-Lim qui a effectué l’autopsie de la victime il y a près de 20 ans, mais elle a réexaminé l’ensemble du dossier pour venir donner son avis d’experte à la cour, puisque le premier pathologiste est maintenant décédé.
