
Vers un traitement contre la cachexie cancéreuse
Le Journal de Montréal
La cachexie est un état d’affaiblissement très grave et incurable qui touche fréquemment les patients atteints d’un cancer. La découverte d’un mécanisme responsable de l’atrophie des muscles qui accompagne la cachexie permet cependant d’envisager le développement de médicaments contre cette condition débilitante.
Les personnes atteintes de certains types de cancer, en particulier les tumeurs gastro-intestinales et pulmonaires, souffrent fréquemment de cachexie, c’est-à-dire une perte de poids sévère qui s’accompagne d’une atrophie des muscles.
Au fur et à mesure que leurs muscles s’affaiblissent, les personnes affectées deviennent extrêmement vulnérables aux blessures, aux infections et aux effets secondaires des traitements, ce qui cause une détérioration majeure de leur condition. On estime que jusqu’à 30 % des décès liés au cancer sont une conséquence directe de la cachexie (1).
Reprogrammation métabolique
Au cours de l’évolution, notre corps s’est adapté à la présence d’une blessure ou d’une maladie en produisant des substances inflammatoires qui stimulent le catabolisme, c’est-à-dire la dégradation des molécules cellulaires.
La libération des réserves d’acides gras et d’acides aminés permet de fournir les éléments essentiels à la réparation des tissus et au combat des infections, deux phénomènes essentiels pour préserver la fonction des organes. Une fois les tissus réparés et les infections éliminées, l’inflammation s’atténue et ce catabolisme diminue, ce qui permet de reconstituer les réserves du corps.
Cet équilibre est cependant complètement perturbé chez les patients atteints d’un cancer, car la présence de tumeurs crée des conditions inflammatoires persistantes, un peu comme une blessure qui ne parvient pas à guérir.
La dégradation des graisses et des protéines des muscles se poursuit alors sans relâche, entraînant un très grave amaigrissement pouvant mener au décès.
Signal défectueux

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.






