Marie-Annick Lépine: une artiste qui ne chôme pas
Le Journal de Montréal
Marie-Annick Lépine mène une carrière enviable au sein des Cowboys fringants depuis 25 ans. Malgré les spectacles, elle trouve l’énergie pour mener une carrière solo, en plus de s’occuper à temps plein du Vieux palais de L’Assomption, nouveau lieu de diffusion de sa ville natale.
L’artiste est à «La belle tournée» ce lundi, à TVA, dans l’épisode consacré à sa région de Lanaudière.
Elle y chante «Les cheveux gras» et «Le monde est beau pis laid», deux pièces tirées de son plus récent effort studio,
«Entre Beaurivage et l’Ange-Gardien», lancé à la fin de 2021.
Au cours des prochains mois, la violoniste et autrice-compositrice-interprète ne chômera pas.
Elle va se payer la traite avec ses complices Catherine Durand et Mara Tremblay pour faire rayonner son propre matériel.
Entre les spectacles des Cowboys fringants, dont elle assure ici et là la première partie, Marie-Annick va monter sur scène avec ses deux amies pour partager sa poésie.
«On est trois filles à l’avant-plan, trois artistes qui ont roulé leur bosse; on a 25 ans de carrière chacune. On a beaucoup de plaisir ensemble et elles sont contentes de m’accompagner dans ce projet-là. Mara est super contente de pouvoir jouer beaucoup de violon. Et Catherine est ma partenaire de voix, elle est là depuis mon premier album.»
La comédienne Julie Perreault réalisera sa toute première fiction, intitulée L’Appel, une production originale de Club illico écrite par Luc Dionne et qui mettra en vedette une distribution cinq étoiles, composée de Magalie Lépine-Blondeau, Patrice Robitaille et Pier-Luc Funk dans les rôles principaux.
Premier festival de l’année, Santa Teresa est devenu un incontournable du printemps avec sa programmation qui laisse une belle place à la relève. Parmi les quelque 55 artistes à voir ce week-end, dont des humoristes pour la première fois, Le Journal a demandé à l’organisateur, Patrick Kearney, de cibler cinq rendez-vous à ne pas manquer.