La marque Volvo d'hier à aujourd'hui
Le Journal de Montréal
À l’aube de la commercialisation du nouveau Volvo C40 à motorisation 100% électrique, Gabriel Gélinas fait un retour sur la longue histoire du fabricant suédois.
Volvo, qui signifie « je roule » en latin, a vu le jour en 1927. Le fameux symbole suédois du fer, placé en diagonale sur la calandre, figure parmi les caractéristiques classiques de la marque.
Pour les fondateurs, la sécurité était l’une des valeurs fondamentales de l’emblème. Ce n’est pas pour rien que Volvo ait joué un rôle de pionnier en matière de sécurité automobile.
L’une des grandes innovations de Volvo que l’on retrouve partout aujourd’hui est la ceinture de sécurité à trois points d’ancrage, une technologie introduite en 1959 par Nils Bolin.
Volvo est aujourd’hui une filiale de Geely, un groupe automobile chinois qui détient également Polestar.
Volvo désire accélérer l’électrification de ses modèles et envisage de retirer tous ses véhicules à combustion d’ici 2030.
Entre en scène le nouveau C40, le premier véhicule complètement électrique de la marque, puisque ce modèle n’est pas offert avec un moteur thermique traditionnel.
À l’observation des chiffres décrivant le nouveau Silverado EV, certains diront que l’attente en valait la peine. Or, pour un constructeur aussi impliqué dans l’électrification que General Motors, il est pratiquement impensable de lancer une telle camionnette deux ans après l’arrivée du F-150 Lightning de Ford. Deux ans bien sonnés, puisque nous avions publié un article découlant du premier essai du populaire camion électrique de Ford le 11 mai 2022.
Cette semaine lors de l'émission du Guide de l'auto à QUB Télé, nos animateurs discutent des nouveaux tarifs douaniers proposés par les États-Unis sur les véhicules chinois. Le gouvernement américain s’engage à quadrupler les tarifs douaniers sur les voitures provenant de la Chine. Il y a peu de voitures provenant de marques chinoises sur le marché américain, mais des marques comme Ford, Buick, Polestar et Tesla assemblent des véhicules destinés au marché nord-américain en Chine. Et avec les élections qui s’en viennent, l’administration Biden choisit de prendre des mesures pour favoriser l’industrie de l’automobile aux États-Unis.