
L’exercice, c’est bon pour le cerveau
Le Journal de Montréal
Une étude rapporte que l’exercice aérobique augmente les niveaux de certaines protéines qui diminuent l’inflammation au niveau du cerveau et améliorent les fonctions cognitives.
Il est clairement établi que l’exercice provoque de nombreux changements physiologiques qui améliorent la fonction de plusieurs organes et contribuent à l’amélioration de la santé.
Ces bénéfices sont particulièrement évidents du point de vue physique (amélioration de la capacité cardiorespiratoire et du tonus musculaire, notamment), mais plusieurs études ont également montré que les fonctions cérébrales sont elles aussi favorablement influencées par l’activité physique.
Il semble que l’impact positif de l’exercice sur les fonctions cognitives soit dû à une augmentation de la plasticité neuronale et à une réduction de l’inflammation au niveau de l’hippocampe, la structure du cerveau qui joue un rôle clé dans la mémoire (1).
Facteur sanguin
Pour déterminer si ces bienfaits cognitifs de l’activité physique pouvaient être causés par des facteurs relâchés dans la circulation sanguine suite à l’exercice, des chercheurs de l’Université Stanford en Californie ont comparé le profil des protéines sanguines de souris actives physiquement à celui de souris sédentaires (2).
Ils ont tout d’abord observé que l’exercice régulier provoquait une augmentation substantielle du nombre de neurones (neurogenèse) dans le cerveau des souris actives comparativement à celui des sédentaires, en accord avec plusieurs études montrant un effet protecteur de l’exercice sur le déclin cognitif et la neurodégénération.
Cette neurogenèse semble induite par un facteur présent dans le sang, car l’injection du plasma sanguin prélevé chez les souris actives à des souris sédentaires a provoqué une hausse du nombre de neurones chez celles-ci, en particulier au niveau de l’hippocampe (le siège de la mémoire), et une amélioration de leurs capacités cognitives (sortie d’un labyrinthe).
Protéines anti-inflammatoires

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