
Google veut limiter le partage des données personnelles sur les appareils Android
Le Journal de Montréal
Google, suivant l'exemple d'Apple, a annoncé mercredi vouloir construire un nouveau système de ciblage publicitaire limitant le partage d'informations personnelles récoltées par les applications mobiles avec des tiers, sur les téléphones et tablettes fonctionnant sous Android.
L'objectif pour le géant du web est de trouver un nouvel équilibre entre la demande croissante de confidentialité réclamée par les utilisateurs et les régulateurs et la nécessité de permettre aux annonceurs de cibler finement leurs publicités à grande échelle, lui rapportant au passage des milliards de dollars.
L'entreprise, filiale d'Alphabet, veut prendre son temps et prévient déjà que cela prendra plusieurs années.
Sur son blog mercredi, Google rappelle que si 90% des applications proposées sur sa plateforme Google Play sont gratuites, c'est en grande partie grâce aux publicités.
Le réseau social Facebook par exemple utilise des outils sophistiqués pour étudier le comportement des membres de son réseau sur internet et ensuite proposer aux annonceurs de viser spécifiquement les profils les plus susceptibles d'être intéressées.
Mais « le secteur doit continuer à faire évoluer le fonctionnement de la publicité numérique pour améliorer la confidentialité des utilisateurs », reconnaît Google.
Apple s'est déjà engagé dans cette voie pour tous les appareils fonctionnant avec son système iOS, en obligeant les éditeurs d'applications mobiles à demander à leurs utilisateurs s'ils veulent bien être pistés une fois sortis de l'application.
Ce changement a été justifié par le respect de la confidentialité des données. Mais il n'empêche pas la société elle-même de récolter des informations, et nuit clairement à des sociétés comme Facebook ou Google qui ne peuvent plus vendre des publicités aussi bien ciblées qu'auparavant.
Meta, la maison-mère de Facebook, estime déjà que cette nouvelle règle va lui coûter 10 milliards de dollars de revenus perdus cette année.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









