Essai du Pixel 6 Pro 5G de Google: cette fois, c’est le bon!
Le Journal de Montréal
Finis les justes milieux et les niveaux de prix qui évitaient d’affronter les haut de gamme Samsung et Apple, les téléphones intelligents Pixel étaient condamnés à être de simples bons appareils, mais sans éclats ni chic.
Cette fois, Google délivre tout son potentiel technologique avec une gamme d’appareils Pixel 6 de taille à se mesurer à ceux des grands rivaux.
Au premier plan, l’introduction de la puce Tensor procure deux grands avantages, à savoir des performances rapides et une faible consommation.
Tensor est une puce-système similaire à celles qu’Apple fait tourner dans ses téléphones et, plus récemment, dans ses ordinateurs portatifs M1. Cette puce-système intègre tous les composants matériels, ce qui signifie que ses processeurs, les coprocesseurs, la mémoire, les jeux d'instructions et les autres logiciels fonctionnent tous sur la même puce pour accomplir des tâches rapidement et efficacement.
En détail, Google a choisi une puce gravée en 5 nanomètres qui se compose d’une paire de cœurs Cortex-X1 cadencés à 2,8 GHz pour les tâches les plus exigeantes, de deux cœurs Cortex-A76 à 2,25 GHz pour les hautes performances et de quatre autres cœurs Cortex-A55 à 1,8 GHz pour les applications de base.
En bref, il n’y a plus de va-et-vient de données comme sur les anciens téléphones où processeur, mémoire, carte graphique et autres composants sont tous séparés. Tout est dorénavant traité dans une seule puce-système (système sur puce – system on chip) qui est beaucoup plus performante et frugale.
Pour le fabricant, moins de composants signifient des composants moins compliqués à assembler, des coûts réduits et un peu plus d’espace pour d’autres choses, comme une pile plus généreuse.
À l’utilisation, cette puissance et cette autonomie se font sentir dès les premiers jours. Un bon exemple de performance que j’aime bien est le temps mis à télécharger et à traiter les applications mises à jour.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.






