En vidéo : le Volkswagen Taos 2022 mis à l'essai
Le Journal de Montréal
Le Volkswagen Taos devient le véhicule utilitaire d'entrée de gamme pour le constructeur allemand.
Dans cette capsule vidéo, le journaliste Julien Amado analyse le nouveau venu de la marque dans le cadre d'un essai routier réalisé en période hivernale.
D'entrée de jeu, Julien souligne que même s'il est catégorisé comme un VUS sous-compact, le Taos affiche des dimensions assez généreuses qui le placent au sommet de sa catégorie en matière d'espace de chagement. En effet, il mesure une dizaine de centimètres de plus que le Kia Seltos, lui-même assez spacieux.
Grâce à sa taille, le Taos possède un volume de chargement de 790 litres pour la version à roue motrice avant. L’espace diminue à 705 litres lorsque le Taos emploie le rouage intégral.
« À conduire, le Taos est un véhicule très confortable. Que ce soit la qualité du roulement ou des sièges. Globalement, on voit que Volkswagen veut maximiser le confort », commente notre journaliste.
Julien Amado souligne également la bonne insonorisation de l’habitacle. Toutefois, il nuance que la conduite n’est pas particulièrement engageante. De plus, la direction — bien qu’elle soit précise — demeure très surassitée.
Sous le capot se trouve un moteur quatre cylindres turbocompressé de 1,5 litre. Il génère une puissance de 158 chevaux et un couple de 184 lb-pi. Les modèles munis du rouage à traction arrivent avec une boite à huit rapports.
Et à bon prix, en plus! Trois vins blancs légers (autour de 12%) et joliment parfumés qui pourront bien arroser votre fin de semaine sous le soleil. On débute avec un petit aligoté pas piqué des vers. On poursuit avec un l’archétype du blanc de bistro à avoir toujours sous la main. Pour terminer, je vous propose un petit chablis qui n’a rien de petit.
On parle beaucoup d'ingérence étrangère depuis quelques années, tout en voyant rarement les visages. Plusieurs personnes craignent de parler des représailles qu'elles subissent de pays étrangers ici, en sol canadien. Au cours des derniers mois, notre Bureau d'enquête est allé à la rencontre de ressortissants qui ont accepté de nous raconter leur réalité, qui est celle de vivre dans la peur au Québec, en 2024.