
«Trash talk» et hockey: quelles insultes lancer à un agitateur talentueux comme Matthew Tkachuk en finale de la Coupe Stanley?
TVA Nouvelles
Quand Patrick Sharp et Antoine Roussel ont commencé à partager le même vestiaire chez les Stars, le premier s’est jeté dans les bras du second. Pourtant, leurs contacts précédents étaient loin d’être aussi chaleureux. Reconnu comme un excellent agitateur, Roussel avait pris l’habitude de picosser – on utilise un mot gentil, ici! – son ancien rival quand il jouait pour les Blackhawks.
«Il m’a dit: mon Dieu, je suis tellement content de jouer avec toi maintenant!» lance en riant Roussel.
C’est donc dire à quel point ce qui est communément appelé le trash talk (les insultes lancées sur la glace) peut véritablement déranger les joueurs qui les reçoivent.
Mais en séries éliminatoires? Le phénomène, bien ancré dans la culture de certains sports, dont le hockey, n’atteint pas son paroxysme au fur et à mesure que l’enjeu augmente, estiment Roussel et Maxim Lapierre, un autre joueur qui excellait en la matière.
«Tu ne veux pas être celui qui va mettre ton équipe dans le trouble», lancent les deux analystes à TVA Sports.

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.

Alexander Karmanov fait 7 pieds 3 pouces sur patins et ce n’est même pas une échalotte. À 17 ans, il pèse 280 lb. Mettons quand même une chose au clair, le plus grand hockeyeur au monde aspire à bien plus que devenir votre bête de cirque. Il est capable de jouer et il a une chance réelle de passer à l’histoire dans la LNH.











