«Martin St-Louis, c’est une embauche parfaite»
TVA Nouvelles
Lorsque Kent Hughes a énuméré les qualités qu’il recherchait chez un entraîneur, il a glissé, au passage, le nom de Rod Brind’Amour. Quelques semaines plus tard, il embauchait Martin St-Louis.
Les deux hommes ont un parcours similaire. Joueurs intenses, ils ont tous les deux disputé plus de 1000 matchs dans la LNH (1484 pour Brind’Amour et 1134 pour St-Louis) et ont remporté la coupe Stanley. Pas surprenant que chacun d’eux se reconnaisse dans l’autre.
«Si vous voulez mon avis, c’est une embauche parfaite», a indiqué Brind’Amour, à quelques heures de l’affrontement face au Canadien.
«J’ai un parti pris pour les gars qui ont joué. Ils ont plus tendance à laisser les joueurs de talent s’exprimer. Je pense que c’est bon pour la game», a ajouté celui qui tient les rênes de Hurricanes depuis quatre saisons.
D’ailleurs, Brind’Amour, qui a d’abord occupé le rôle d’entraîneur adjoint pendant sept saisons, n’est pas surpris du regain de vie affiché par le Tricolore depuis l’embauche de l’ancien attaquant du Lightning.
Même s’il est le premier joueur à marquer 50 buts à 17 ans dans la LHJMQ depuis Sidney Crosby, Justin Poirier n’a pas été invité à la séance d’évaluation des espoirs, plus communément appelée «Combine», qui se tient traditionnellement chaque année à Buffalo avant le repêchage de la Ligue nationale de hockey.