
«C’était vraiment intense pour la vie de couple et de famille»: faire des rénovations majeures... tout en s'occupant d'un bébé d'un an
Le Journal de Montréal
Comme si rénover un taudis sans faire appel à un entrepreneur n’était pas déjà une tâche suffisamment colossale, Gabrielle Grondin-Gravel et son conjoint l’ont fait un an après avoir accueilli leur premier enfant.
«Je suis fière de nous d’être restés positifs et d’en avoir ri»: malgré le soutien inconditionnel de sa famille, ce couple a dû faire preuve de résilience et de patience pendant la rénovation de sa maison unifamiliale à Saint-Constant, acquise pour 462 000$ en novembre dernier.
Cette demeure à deux étages, dont les propriétaires précédents étaient une famille d’accueil pour la DPJ, portait les cicatrices du passage de la quinzaine d’enfants qui y ont séjourné. «Laide, sale, délabrée»: voilà les qualificatifs employés par Mme Grondin-Gravel pour décrire la maison avant le début des travaux.
«Mais l’histoire [de la maison] m’a touchée, parce qu’ayant étudié là-dedans, je sais à quel point il n’y a pas beaucoup de gens qui auraient fait ce qu’ils ont fait, estime-t-elle. Et on a tout de suite vu le potentiel de la maison, malgré son état.»
